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jeudi 12 septembre 2013

Incroyable! Un serpent retrouvé dans l’estomac d’une femme

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Une américaine de 49 ans, Maria Tsotesi, a appris qu’elle vivait avec un serpent dans l’estomac. Maria, qui semble être enceinte (comme vous le voyez sur la photo), a été à l’hôpital où les médecins lui ont dit qu’il y avait effectivement de la vie dans son ventre.
“Ils m’ont dit que j’avais perdu beaucoup de sang et qu’ils voulaient m’opérer d’urgence mais rien a changé après ça. Les infirmières m’ont mis sous perfusions mais quelques jours plus tard les médecins m’ont laissé partir.” a t-elle déclaré.
Comment ce serpent est-il arrivé dans son ventre me demandez-vous? Et bien c’est une histoire assez insolite !
Quelques mois avant, alors que Maria se plaignait de douleur à l’estomac, son ex petit ami a décidé de l’emmener voir un évêque. Ce dernier lui a demandé d’enlever ses vêtements et lui a donné du Muthi (c’est une plante médicinale) à prendre.
“Le muthi était recouvert par une peau de serpent blanche et marron. L’évêque m’a tout de suite dit que cela allait vite me guérir.”
Mais quelques jours après, la pauvre Maria s’est rendue compte qu’elle avait quelque chose dans son corps et ses dents ont commencé à tomber.
“Je crois que le muthi ma fait perdre mes dents. Suite à ça, mon petit ami m’a quitté après 14 ans de vie commune et depuis je suis seule dans la vie” a-t-elle dit. “Je voudrais qu’il revienne et enlève le serpent qu’il a mis dans mon estomac. Je crois qu’il en est responsable !” a t-elle ajouté.
Un guérisseur du nom de Ntsimbi Ngema a déclaré : “Ce genre de chose est pratiqué par des amoureux jaloux. Maria ne pourra pas avoir un autre petit ami parce qu’il pourrait mourir après avoir fait l’amour avec elle.”
Un docteur qui a préféré rester anonyme a annoncé que Maria pourrait souffrir de toutes sortes de choses, y compris des calculs rénaux et calculs biliaires.
Source: letribunaldunet.fr

mercredi 11 septembre 2013

FRANCE[Chevilly-Larue] : 100 kg de cannabis découverts dans une voiture

 

ZAMBIE : Jeté en prison pour un os ! En ramassant un os de gazelle dans le désert en Zambie, un touriste français ne s’attendait pas à vivre un tel cauchemar…

Lusaka (Zambie). Le touriste français a passé vingt-quatre heures dans une cellule de 80 m2 de cette prison, avec 229 autres détenus.

Lusaka (Zambie). Le touriste français a passé vingt-quatre heures dans une cellule de 80 m2 de cette prison, avec 229 autres détenus. | (AFP/Mackson Wasamunu .)

Patrick Fourgeaud, chef d’entreprise à Scionzier (Haute-Savoie), se souviendra longtemps de ses vacances en Zambie. Parti pour un safari avec son épouse, il s’est retrouvé dans une cellule de moins de 80 m2 de la prison de Lusaka, avec 229 autres détenus puis a été condamné à deux ans d’emprisonnement. Les vacances de rêve ont tourné au cauchemar.                                        
« Lors du safari, au cœur du parc national, nous avons ramassé dans la brousse des plumes et un morceau d’os, raconte Patrick. Juste des souvenirs de vacances. Mais le 15 août, quand nous nous apprêtions à quitter le pays, les douaniers de l’aéroport de Lusaka sont tombés sur ces plumes d’un oiseau très commun et surtout sur l’os. Pour eux, il s’agissait d’une corne d’impala, une sorte de gazelle. Selon moi, ce n’était qu’un vieil os, car il ne restait même plus la kératine de la corne. En plus, l’impala n’est pas une espèce menacée. » Aux yeux des douaniers, le couple a commis un en tuant un animal pour prendre sa corne. Les époux sont enfermés six heures dans un local de l’aéroport, sans eau, puis transférés vers l’organisme qui gère les parcs nationaux. Patrick arrive à contacter l’ambassade de . Qui intervient pour faire libérer les deux Français. Patrick doit néanmoins se présenter le lendemain devant le tribunal de Lusaka. Le 16 août, il comprend qu’il est accusé de « de trophée ». Mais son procès est repoussé au 19 août.

Le couple regagne son hôtel. Sur place, à l’heure du dîner, un orchestre interprète la chanson de Johnny Hallyday, « les Portes du pénitencier ». Mauvais présage…

Il veut dénoncer les conditions de détention

Le 19 août, le juge estime qu’il a besoin d’un temps de réflexion avant d’examiner l’affaire. En attendant, il décide d’envoyer Patrick à la prison centrale de Lusaka. « C’était l’horreur. On m’a emmené dans une cellule de 80 m2 dans laquelle on fait rentrer 229 personnes. Par terre, il y avait des matelas en mousse. Les gens étaient couchés, les uns contre les autres. Imaginez une boîte de sardines. Et bien là, c’est pareil. Les gens sont rangés tête-bêche… »

Patrick décrit des conditions d’hygiène déplorables : « L’odeur est infernale, la nourriture, infâme. Une bouillie avec des petits poissons pleins de cailloux. L’eau est salée. » Après vingt-quatre heures dans cet enfer, le touriste est emmené au tribunal. Et la sanction tombe : deux ans de prison! « Mon épouse s’est mise à pleurer. Je me suis dit : Ce n’est pas possible, c’est un cauchemar, se rappelle Patrick. Le juge a joué avec nos nerfs, et, au bout d’une minute, a décidé de transformer la peine en une simple amende. L’équivalent de 1500 €. J’ai payé. C’était la fin du cauchemar. On a pu rentrer en France. » Très marqué par cette épreuve, Patrick Fourgeaud veut aujourd’hui dénoncer « les conditions d’incarcération inhumaines » dans les prisons zambiennes. Il a créé une page Facebook. « Il faut que je fasse quelque chose pour ces gens-là, que je les aide. Moi, je suis sorti de cet enfer. Mais eux y sont toujours, depuis des mois, voire des années. Certains sans être jugés, juste parfois pour des problèmes de papiers, de visa. Il faut alerter l’opinion publique », estime le chef d’entreprise.

Source : Le Parisien
 

VIDÉO. Corée du Nord : la "sextape" de l'ex-petite amie de Kim Jong-un


Une jupe fendue, une chorégraphie un peu olé-olé, mais rien de pornographique dans cette vidéo qui aurait valu à Hyon Song-wol d'être abattue par le régime.
Fin août, on apprenait, selon le journal sud-coréen Chosunilbo, que Kim Jong-un aurait fait fusiller son ex-petite amie le 20 août. Motif ? Hyon Song-wol était accusée d'avoir enfreint les lois anti-pornographie pour avoir tourné une "sextape". Selon le journal, la vidéo la montrait en pleins ébats amoureux avec son légitime époux.
Mardi, nouvelle "révélation" : la fameuse "sextape" a été mise en ligne. S'agit-il du corps du délit ? Il est en réalité impossible de le savoir. Une chose est sûre : il n'y a rien dans ces images qui justifie l'appellation "sextape" ou la qualification de pornographique. N'importe quel clip sur MTV est plus sulfureux que les pas de danse de Hyon Song-wol.
Quoi qu'il en soit, la malheureuse, une star dans son pays qui chantait dans un groupe à la gloire du régime, a, selon Chosunilbo, été tuée, ainsi que son mari, "à la mitrailleuse pendant que les proches des victimes observaient la scène". Les familles du couple auraient été également déportées dans des camps de travail, selon le principe nord-coréen de "culpabilité par association".

mardi 10 septembre 2013

USA: LES EXTENTIONS, UN COMMERCE LUCRATIF


Tressage, défrisage, coloration, des possibilités infinies! mais ce sont surtout les extensions qui séduisent le plus grand nombres d'Afro-américaines. Les weaves, comme on les appelle aux Etats-Unis sont la spécialité de beaucoup de salons. Ces extensions sont souvent des cheveux humains importés d'Asie ou d'Amérique du Sud à des prix imbattables.

La propriétaire fait caca dans la maison, pour faire partir ses locataires qui ne payent plus le loyer.

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La propriétaire fait caca dans la maison, pour faire partir ses locataires [ ghanéennes] qui ne payent plus le loyer. Le 02 septembre Elle défèque d’énormes monticules d’excréments dans une grande boîte de conserve de tomates. En tout cas, la puanteur des excréments est à la hauteur de la détermination de la vieille femme à expulser ses indélicats locataires.
Depuis environ trois ans, D.A. et L.T., deux vendeurs de friperie d’origine ghanéenne occupent une maison de trois pièces au quartier Lobikro à Abengourou. Un local qu’ils louent à 25.000 francs le mois. Les commerçants occupent chacun une chambre. Mais depuis environ huit (8) mois, ils ont du mal à payer le loyer. Selon eux, leurs affaires ne tournent plus convenablement. Mieux, leurs recettes ne leur permettent pas de joindre les deux bouts et d’honorer leurs engagements vis-à-vis de leur propriétaire de maison.
Après plusieurs conciliabules ponctués de promesses non tenues, la propriétaire de maison demande aux occupants de quitter le local. Les arriérés ? Elle leur en fait cadeau. Pour elle, l’essentiel c’est qu’on libère sa maison qu’un locataire solvable s’apprête à occuper. Hélas, la pauvre dame a beau donner de la voix, les locataires demeurent dans la maison. Chaque jour, avant le lever du soleil, ils partent des lieux pour ne rentrer que tard au moment où leur tutrice est endormie. Elle ne les voit pratiquement plus.
Le 2 septembre dernier, elle décide d’agir. Et comment ? Elle défèque d’énormes monticules d’excréments dans une grande boîte de conserve de tomates. En tout cas, la puanteur des excréments est à la hauteur de la détermination de la vieille femme à expulser ses indélicats locataires. Cela fait, elle dépose le « colis » infect dans la maison (au salon précisément) dont elle a le double des clés. Ensuite, elle dispose autour du récipient des cauris et autres objets à relents mystiques. Puis, elle rentre se coucher.
Tard dans la nuit, les commerçants, à pas feutrés sûrement, rentrent. Mais quand ils ouvrent leur logis, c’est une odeur pestilentielle qui les accueille. Quand ils éclairent les lieux, ils sont scandalisés. La méthode de la vieille dame marche. La même nuit, ils partent se coucher ailleurs. Le lendemain, ils reviennent chercher leurs affaires et quittent les lieux. A la grande joie de leur tutrice qui peut maintenant attribuer sa maison à un autre locataire. Une méthode qui à coup sûr, devrait inspirer d’autres propriétaires de maison.

Concours Miss grosse Fe**es à Abidjan pour combattre l'obésité